La seule pierre, peut-être,
Sur laquelle
J'ai posé mes lèvres
Pour un baiser
A travers le tempsCar c'était de cette pierre
Que j'attendais le chant
Qui me permettraitDe supporter
La beauté du soirEt l'espoir d'autres baisers
Qui viendraient.
Eugène Guillevic, Le chant, Gallimard, 1990
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