Pourquoi ? Pour quoi ?
Car la vie vaut bien, sans illusion particulière, l’affichage d’une tentative contre toutes les tentations qu’abreuvent les désastres.
Car les amours nichent dans le secret des lieux d’ombres et de silences.
Car il faut bien prendre le temps de dessiner à main levée une errance oublieuse.
Car l’écriture est un chemin hasardeux pour dire sans maudire.
Pour approcher ce qui s’offre et se refuse dans l’évidence chaotique des paysages, des pages, des visages.
Pour partager des lectures de
poètes et d’auteurs présents dans ma bibliothèque interne.
["De façon paradoxale, mais avec beaucoup de conviction, je prétendais
alors qu'il n'y avait qu'une seule sorte de bibliothèque : le corps qui
a lu." Pascal Quignard ]
Pour bien d’autres choses qui viendront au détour des jours.
Pour dessiner comme un jardin, un paysage, un visage, un livre.
Ce
texte, comme tous les autres, n'est pas définitif et pourra être revisité, maltraité,
supprimé, resserré... Un blogue atelier.
Commentaires
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