Là-haut,
dans les limites des jardins,
tout ne saurait se dire.
Jamais nous ne pourrons décrire
le juste accord qu'au-delà de toute lisière
savent si bien parfaire
tant de lumière et tant de nuit.
Maintes pluies, très douces,
seront perdues,
mais qu'un filet d'eau vive,
éperon dans le vaste lancé, demeure,
et ce sera assez.
Jean-Paul Hameury, Cette autre rive, Editions Ipomée, 1978
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